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Économies de subsistance : quels leviers pour l’action publique ?

Une nouvelle publication du Réseau National des Centres Ressources Politique de la Ville qui explore les économies de subsistance, afin d’apporter des clés de compréhension et de soutenir les actions locales.

Économies “souterraines”, “informelles”, “illicites”, “criminelles”, “non-déclarées”, “populaires”, ces termes se recouvrent partiellement mais ils ne sont pas pour autant équivalents et désignent des pratiques et des postures distinctes.

En faisant le choix de la notion d’économies de subsistance, cette publication veut contribuer à circonscrire l’objet pour mieux observer et accompagner ces pratiques économiques. Pourquoi et comment les observer? Pourquoi et comment les accompagner ? Par-delà les mesures de dissuasion (contrôles, répression) et d’incitation (fiscalité, subventions), comment envisager des mesures de persuasion (accompagnement individuel et collectif notamment) susceptibles de s’inscrire dans une logique de valorisation des savoirs et savoir-faire ouvriers, commerçants et domestiques locaux ?

Cette publication rend compte de six expériences locales :
1. La mécanique de rue dans trois quartiers prioritaires d’île de France
2. Mécanique de rue au quartier Château à Rezé
3. Les économies populaires de subsistance dans le quartier de la Mosson à Montpellier dans l’Hérault
4. La mécanique de rue : l’expérience séquanodionysienne
5. Cuisine communautaire collective : l’expérience de l’association Taf & Maffé
6. Des espaces marchands encadrés pour les biffins